Cet évènement s'inscrit dans la programmation de BellissiMetz, organisé du 23 au 27 avril 2025 par la Ville de Metz, le Consulat Général d’Italie à Metz, la Chambre de Commerce Italienne pour la France de Marseille, l’Institut Culturel Italien de Strasbourg et leurs partenaires.

Une découverte exclusive et privilégiée des costumes dessinés par Giovanna Fiorentini, de l’Académie Albertina des Beaux-Arts de Turin, et réalisés par les ateliers de l’Opéra-Théâtre de l’Eurométropole de Metz.

Inauguration le mercredi 23 avril à 11h30. 

Cet évènement s'inscrit dans la programmation de BellissiMetz, organisé du 23 au 27 avril 2025 par la Ville de Metz, le Consulat Général d’Italie à Metz, la Chambre de Commerce Italienne pour la France de Marseille, l’Institut Culturel Italien de Strasbourg et leurs partenaires.

Le festival Photographie mon amour revient en 2025 pour une troisième édition à la basilique Saint-Vincent avec le soutien de la Ville de Metz.

Cette année, Bout d'essais accueille le photographe Nicolas Boutruche en résidence afin de réaliser deux œuvres consistant à découper la façade de bâtiments messins pour leur faire prendre vie grâce à ses fameuses scénettes. Le travail unique réalisé à Metz sera dévoilé lors du temps fort et exposé à la basilique Saint-Vincent.

Les autres photographes exposés sont Isabelle Chapuis qui invite les spectateurs à l'expérience du vivant : humain, animal et végétal. Vincent Muller documente une nouvelle forme d'intimité peu abordée en posant la question du rapport de l'homme à l'objet. Randa Mirza dénonce l'actualité de la destruction et de la reconstruction de la ville de Beyrouth au Liban dont elle est originaire. Enfin, une exposition sera dédiée à la rétrospective des activités du collectif Bout d'essais, organisateur du festival, ainsi qu'à la jeune création. Le lauréat de l'édition 2024 de Musicophotographie, Lucas Frayssinet présente une série sur les différentes communautés des Îles Féroé.

Expositions visibles du 2 avril au 25 mai 2025 à la basilique Saint-Vincent avec un temps fort le week-end des 26 et 27 avril, ponctué de rencontres avec les artistes, de visites guidées, de workshops, de stands et ateliers et d'une brocante photo.

ESOD, une exposition des étudiantes et étudiants de l’atelier Zone à Dessins de l’École Supérieure d’Art de Lorraine, site de Metz, dans le cadre du futur Pavillon de la Biodiversité, en collaboration avec le Musée de la Cour d’Or et le Cloître des Récollets.

L’École Supérieure d’Art de Lorraine — Metz affirme son engagement en faveur de l’expérimentation artistique et de l’exploration du territoire à travers des projets immersifs et collaboratifs. L’atelier ZÀD – ZONE À DESSINS encadré par François Génot et Jean-Christophe Roelens, artistes et enseignants à l’ÉSAL, s’inscrit dans cette dynamique : il mène tous les ans une enquête artistique collective en collaboration avec un nouveau partenaire.

Cette année, le collectif de 14 étudiant·es de l’ÉSAL, accompagné de Maëlys Sinnig, attachée de conservation, propose une exposition dans le cadre du futur Pavillon de la Biodiversité au Musée de la Cour d’Or. Les étudiant·es se sont particulièrement intéressés aux collections des réserves de la Maison de l’Archéologie et du Patrimoine. En détournant l’acronyme ESOD (Espèces Susceptibles d’Occasionner des Dégâts) l’exposition propose une lecture sensible et poétique des modes de gestion et de classification techniques du vivant. En s’immergeant dans ces espaces de conservation, iels réaniment des spécimens inertes par des récits alternatifs et des propositions artistiques spéculatives.

L’édition d’un livre accompagne également l’exposition. Écrite, conçue et mise en page par les étudiant·es, elle prolonge la réflexion et les recherches engagées par le collectif.

Etudiants artistes : Eléna Boguais, Ambre Bouillaguet, Salomé Castells, Aizane Garat, Antoine Grancher, Marie-Cécile Grand, Laetitia Hue, Marine Lauer, Loïc Leclercq, Fanette Lentretien, Claire-Nolwenn Moisan Erhwein, Lucile Pacheco, Lou Ronfort, Jules Schwoerer

Artistes enseignants : François Génot et Jean-Christophe Roelens.

L’exposition SA[U]GE mêle sagesse et rituels, interrogeant la dualité et l’ésotérisme. À travers des portraits de personnages cachés, Babayaga explore la dissimulation, le rapport à la vérité et l’embellissement de la réalité. Inspirée par des mythes et des doubles sombres, cette exposition révèle un univers où l’image adoucie, oscille entre mystique et introspection.

Exposition Babayaga (Juliette Pantaléo, illustratrice).

Dans le cadre des Journées franco-allemandes, l’Hôtel de Ville de Metz accueillera l’exposition FAAR, une célébration unique de l’art sous toutes ses formes. Placée sous le thème « L’harmonie dans ses différences », cette édition met en lumière la richesse et la diversité artistique de la Grande-Région à travers des œuvres variées : sculptures fascinantes, créations d’art digital novatrices, dessins à l’aveugle intrigants et peintures captivantes.

Les familles ne seront pas en reste, avec des ateliers spécialement conçus pour les enfants et un concours de dessin réunissant les créations d’une école maternelle. Le dimanche, de charmants spectacles de danse réalisés par de jeunes artistes viendront animer la journée et clôturer ce week-end artistique sur une note poétique. Une occasion parfaite de découvrir, d’échanger et de s’émerveiller ensemble autour de l’art et de la créativité.

Explorez le Musée et appréciez ses chefs-d'oeuvre en compagnie de notre Chargée de médiation !

L’École Supérieure d’Art de Lorraine, établissement public d’enseignement supérieur artistique, vous invite à sa journée portes ouvertes le 1er février 2024 sur ses deux sites, à Épinal et à Metz.

Au programme : une immersion totale dans la vie de l’école et la découverte des projets créatifs des étudiants. Vous aurez l’occasion de rencontrer ceux qui font vivre l’établissement?: artistes, étudiants, théoriciens, enseignants, personnel administratif et technique, ainsi que des diplômés, tous prêts à partager leurs parcours et expériences avec vous.

À Metz, étudiants et agents de l'école présenteront les formations en Art, Communication, Musique et Danse.

Tout au long de la journée :

• Visites guidées assurées par les étudiants
• Rencontres et échanges avec les enseignants
• Découverte des ateliers : pôle édition, vidéo, photographie, soundpainting, etc.
• Ateliers et performances
• Petite restauration proposée par les associations étudiantes

L’entrée est libre et gratuite. Venez découvrir les lieux de formation de la jeune création !

"Laïcité : nom féminin – Caractère de ce qui est laïque, indépendant des conceptions religieuses ou partisanes" – Larousse

Si cette définition ne t’a pas éclairé sur la laïcité, viens partager avec nous un moment d’échange, de découverte et de convivialité pour mieux comprendre cette valeur fondamentale qui nous rassemble.

Au programme :

• Quizz
• Expo interactive pour apprendre en s’amusant.
• Débats animés pour comprendre un peu mieux les cadres légaux
• Apéro convivial

Journées européennes du matrimoine et du patrimoine

Différents départs tout au long du weekend pour découvrir l’Hôtel Saint-Livier ou le jardin du 49 Nord 6 Est et ses plantes hors-normes !

Images sources – Visite d’histoire de l’art

D’où viennent les images ? Venez découvrir les iconographies qui se cachent derrière les œuvres de l'exposition lors de ces visites avec une historienne de l'art. Par Camille Debrabant, enseignante à l’ENSAD Nancy et docteure en histoire de l’art de l’Université Paris I Sorbonne.

En 1936, Marie Laurencin peint le tableau La Répétition. À première vue, rien ne s‘y distingue d‘une scène de genre convenue. Un groupe de jeune femme est assemblé ; l‘une tient un livret pour le chant, une autre une guitare pour la musique, une autre encore esquisse un pas de danse, tandis que les deux autres les regardent. Sans en avoir l‘air, ce tableau n‘est rien de moins qu‘une reformulation des Demoiselles d‘Avignon de Pablo Picasso, l‘une des œuvres inaugurales du modernisme : même rideau qu‘ouvre un des modèles, même nombre de figures féminines dans une composition pyramidale, mêmes rythmes chromatiques – un chien remplaçant au premier plan une nature morte. Sauf que, loin de multiplier les hétérogénéités, tout le tableau est marqué par un principe de redoublement. La répétition n‘est pas seulement le sujet du tableau (une répétition comme il en faut pour qu‘un spectacle soit réussi), elle est aussi sa méthode, incarnée par le fait que tous les visages sont identiques – un redoublement dans le redoublement.

Commisariat Éric de Chassey, directeur général de l‘Institut national d‘histoire de l‘art.